Mercredi, les enquêteurs ont interpellé un réseau de neuf personnes, six hommes et trois femmes, âgés de 20 à 40 ans dont trois d’entre elles suspectées d’avoir participé au braquage de la bijouterie de Thierry Unik et ont été placés en garde à vue.

Le bijoutier cannois de 42 ans avait été abattu le 26 novembre 2011.

Soupçonnés de faire partie d’une bande organisée, les six hommes et trois femmes, ont toutes été placés en garde à vue.

Des perquisitions ont eu lieu à leurs domiciles.

Quelques jours après le braquage, plusieurs « éléments matériels », ont été retrouvés dans la nature

Ces éléments ont notamment permis de remonter jusqu’aux auteurs présumés des faits, a indiqué une source.

Le bijoutier avait été immédiatement abattu par l’un des quatre braqueurs lorsqu’il s’était levé de son bureau et avait succombé à ses blessures une demi-heure plus tard, malgré les premiers soins des secours arrivés sur place.

Les malfaiteurs s’étaient enfuit avec des bijoux, sur un scooter et une moto de grosse cylindrée.

La reconstruction  de leur itinéraire avait pu être reconstitué jusqu’à la commune voisine de La Roquette-sur-Siagne.

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