Au lendemain du suicide du médecin de l’émission Koh Lanta après la mort d’un des candidats, la journaliste Francçoise Laborde, membre du CSA a réagi sur Europe 1
« Je ne sais pas si c’est la fin de la télé-réalité, mais cela pose un certain nombre de questions sur ces gens qui ne sont pas forcément prêts à vivre un séisme médiatique, qui se retrouvent dans ces programmes ».
Francçoise Laborde a ajouté « Ces émissions sont très populaires et se nourrissent des rumeurs sur les réseaux sociaux, et cela a tendance à broyer les gens. Nous avions un certain nombre de préconisations au CSA.
Il faut peut-être aller plus loin que ce que nous avions fait il y a un an, je pense à l’accompagnement psychologique, le suivi »
« On pourrait par exemple mettre une nouvelle signalétique, et il y a l’article 1 d’une recommandation de CSA datant de 2005 qui interdit toute violence à la télévision entre 6h et 22h.
C’est un article assez peu utilisé, peut-être qu’on va le réutiliser.
Par exemple, si Koh Lanta est interdit au moins de 12 ans, il ne pourra plus être diffusé à 20h50.Dans la télé-réalité, il y a une violence latente avec des affrontements entre les candidats. » a estimé Françoise Laborde.
Voir aussi : (Vidéo) TF1- Suicide du médecin de Koh-Lanta : Sa lettre d’adieux rendue publique
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