Nicolas Sarkozy qui s’est rendu jeudi matin à Dammarie-les-Lys où un policier a été tué mardi a estimé que les assassins
de policiers devaient être systématiquement passibles de la réclusion à perpétuité assortie d’une peine de prison incompressible de 30 ans ;
Depuis le commissariat de Dammarie-lès-Lys dont l’un des policiers a été tué mardi par des membres présumés de l’ETA, Nicolas Sarkozy a ajouté que la moindre insulte contre des membres des forces de l’ordre devait faire l’objet de poursuites judiciaires.
Pour le chef de l’état, accepter des insultes destinées à un fonctionnaire de police, « ça veut dire qu’on se prépare à accepter par la suite que la même personne soit frappée »
« et que si on accepte que la même personne soit frappée au prétexte qu’il est fonctionnaire, alors qu’on se prépare à ce qu’elle soit blessée et si on accepte ça, on a les assassinats », a poursuivi le président.
Nicolas Sarkozy a également évoqué jeudi matin le cas de deux autres policiers tués dans l’exercice de leurs fonctions, à Tarascon et dans les Bouches-du-Rhône.
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