François Hollande vainqueur dimanche de la primaire PS racontait à Libération sa campagne Trois jours avant le second tour de la primaire PS .

Il explique comment de «challenger», l’empêchement de DSK l’avait transformé en «favori de substitution».

François Hollande : « Le moment le plus fort a été le fait que Strauss Kahn ne puisse pas être candidat. Parce-que moi dans cette idée, non pas que j’’avais déterminé mon choix.

Moi j’étais candidat parce-que je pensais que j’avais la personnalité, les idées, les intuitions qui correspondaient à cette configuration politique ( ….) mais je savais que mon concurrent serait Dominique Strauss Kahn »

François Hollande a ajouté « Ca a été un événement qui n’a, non pas changé mes positions, mais qui a changé la campagne ».

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