Mercredi Stéphane Guillon a consacré sa chronique sur France Inter a son licenciement de la station de radio publique en s’adressant à ses patrons Philippe Val et Jean Luc Hees :
« Allez on y va, on licencie, on brime, on mute sans le moindre sans le moindre état d’âme, « France Inter: écoutez l’indifférence »! » a-t-il lancé parodiant le slogan de la station publique.
« Personne ne sait rien: situation kafkaïenne. Comment vous dire ‘au revoir’ chers auditeurs en ne connaissant pas vraiment mon sort (…) par précaution je voudrais vous dire au revoir et merci! » (…) « vous allez me manquer » a jouté le chroniqueur.
Dans une interview au Monde.fr le PDG de Radio France Jean Luc Hees a indiqué que « l’humour ne doit pas être confisqué par de petits tyrans ».
« J’ai eu de nombreuses discussions avec Stéphane Guillon à propos de ses chroniques. Si l’humour se résume à l’insulte, je ne peux le tolérer pour les autres mais également pour moi », a-t-il déclaré,
Il ajoute avoir « un certain sens de l’honneur » et ne pouvoir accepter qu’on lui « crache dessus en direct ».
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