Désormais le déblocage d’un nouveau de prêts de 130 milliards prévus par la zone euro fin octobre à la Grèce pour lui éviter une faillite incontrôlée, est possible après l’accord de l’ensemble de ses créanciers privés (84%) pour accepter la restructuration de la dette souveraine colossale accumulée.
Grace à l’annulation d’une partie colossale de sa dette, le défaut de paiement de la Grèce s’éloigne.
Un communiqué du ministère des Finances indique qu’Athènes recommande le recours des clauses d’action collectives attachées aux obligations qui doivent être échangées.
Cette mesure contraint les porteurs opposés à accepter les termes de l’échange ce qui devrait porter au final le taux d’acceptation à 95,7%.
Selon le communiqué « Les détenteurs d’approximativement 172 milliards d’euros d’obligations de droit grec » ont accepté la proposition faite par la Grèce le 24 février d’échanger leurs titres de dette avec une valeur faciale réduite de 50%.
Le deuxième plan de sauvetage de La Grèce élaboré par les pays de la zone euro après une première injection de 110 milliards en 2010 repose sur deux axes désendettement et renflouement.
Les places boursières avaient largement anticipé cette nouvelle jeudi avec des hausses de plus de 2% en Europe.
La Bourse de Paris reste hésitante vendredi matin .
A 10h55 le CAC 40 progresse de +0.01% à 3478 points.
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