Après la publication mercredi par Le journal Le Monde du contenu des procès-verbaux établis lors de la garde à vue de l’ancien patron du FMI, le 21 février, DSK mis en examen lundi à Lille, contre-attaque et fait savoir par ses avocats, qu’il porte plainte pour « violation manifeste de ses droits.
Sont notamment publiés, des extraits des SMS échangés avec Fabrice Paskowski, l’un des entrepreneurs qui finançait les parties fines auxquelles participait Dominique Strass Kahn.
Le mot de « matériel » est utilisé par DSK emploie pour évoquer les jeunes femmes participant à ces réunions privées.
L’ancien patron du FMI reconnaît que le langage utilisé dans ces SMS n’est pas « très sophistiqué » mais aussi sa naïveté et déclare avoir ignoré que les femmes qui participaient aux parties fines étaient des prostituées.
DSK a répondu aux enquêteurs qu’il « n’interroge pas les gens sur leur vie privée ».
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