Au titre du préjudice moral, les trois anciens salariés de Renault, accusés à tort d’espionnage, ont demandé 11 millions d’euros d’indemnité.
Le constructeur automobile avait prévu entre 500 et 700.000 euros.
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Au titre du préjudice moral, les trois anciens salariés de Renault, accusés à tort d’espionnage, ont demandé 11 millions d’euros d’indemnité.
Le constructeur automobile avait prévu entre 500 et 700.000 euros.
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