Nicolas Sarkozy en déplacement jeudi à Tripoli a appelé les pays ayant sur leur sol des Libyens recherchés à les livrer à la justice internationale et a demandé qu’il n’y ait ni « vengeance » ni « règlements de comptes » en Libye.
A Benghazi, le chef de l’état a assuré devant de nombreux Libyens réunis sur la place Tahrir, qu’il croyait à une «Libye unie, pas dans une Libye divisée»
«Jeunes de Benghazi, jeunes de Libye, jeunes arabes, la France peut vous dire son amitié et son soutien», a ajouté Nicolas Sarkozy acclamé par la foule.
«Vous avez voulu la paix, vous avez voulu la liberté, vous voulez le progrès économique, la France, la Grande Bretagne et l’Europe seront aux côtés du peuple libyen» a-t-il poursuivi.
David Cameron, Premier ministre britannique présent aux côtés de Nicolas Sarkozy a déclaré : «c’est extraordinaire de se retrouver dans une Libye libre».
Depuis la chute de Mouammar Kadhafi, MM. Sarkozy et Cameron sont les deux premiers dirigeants occidentaux à se rendre en Libye.
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