Lors d’une traque dans les rues de Paris, la police a été mobilisée lundi après-midi la capitale pour tenter de retrouver l’homme a ouvert le feu dans le hall de Libération après que des coups de feu aient été tirés devant le siège de la Société Générale à la Défense.
Quels peuvent être les motivations de cet homme dont le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a indiqué « L’individu court, il représente un véritable danger ».
Le procureur de la République de Paris a déclaré lors d’une conférence de presse « Il n’a pas de revendication précise » a t-il expliqué.
l’identité des personnes libérées récemment de prison après les déclarations
de l’individu à l’automobiliste qu’il a pris en otage
pourrait être une piste très sérieuse
Agé d’une quarantaine d’année l’individu ne correspondrait aux typologies classiques et selon le criminologue Jean-Pierre Bouchard » Nous ne sommes pas habitués à ça en France, contrairement aux Etats-Unis » a t-il indiqué sur BFMTV.
Sur iTélé un spécialiste a indiqué qu’ »un profiler a été mis à contribution » pour tenter de cerner sa personnalité.
L’appel à témoin avec n° de téléphone mis à la disposition du public va être désormais déterminant.
Selon Jean Marc Bailleul su Syndicat des Cadres de la Police Intérieures « Son portrait est entre les mains de tous les équipages tant de la Sécurité Publique que des départements environnants ».
Précisant « La police Judiciaire a mis en place de nombreuses équipes pour vérifier les nombreuses informations téléphoniques ou par mails qui leurs proviennent ».
La police va également passer au peigne fin l’identité des personnes libérées récemment de prison.
Le tireur pourrait en faire partie ; il l’a affirmé hier à l’automobiliste qu’il a pris en otage.
L’ancien patron du Quai des Orfèvres, Claude Cances a déclaré « Une enquête de voisinage est très importante. On passe parfois des jours voire des nuits pour refaire le trajet, on attend la sortie des métro à l’heure à laquelle il est passé pour voir des témoins susceptibles de l’avoir rencontré » a t-il expliqué sur BFMTV.
Les enquêteurs comptent beaucoup sur les traces ADN laissées par le tireur là où il est passé notamment dans la voiture de l’automobiliste qu’il a pris en otage et dans laquelle il est resté au total une vingtaine de minutes.
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pour les enquêteurs.
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