Alors qu’une polémique sur le coût de la protection de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni, « Le Figaro » révèle lundi 12 août qu’un homme (un « déséquilibré », « connu des services de police allemands », ) a pénétré dans la villa de Carla Bruni-Sarkozy, au Cap Nègre dans le Var.

Selon l’entourage de l’ancien chef d’Etat, l’homme est « inscrit dans les fichiers de la police allemande pour des faits de délinquance » et souhaitait « rencontrer » la chanteuse.

Un membre du cabinet de Nicolas Sarkozy raconte au Figaro »Il aurait pu s’en prendre à Mme Sarkozy ou à son enfant sur place. Il a heureusement été stoppé à temps ».

Le Nicolas Sarkozy a dû attendre plusieurs jours pour avoir des précisions de Manuel Valls ministre de l’Intérieur.

Et le Figaro d’ironiser sur les révélations du Parisien : « L’affaire aurait pu en rester là. Mais voici que ‘Le Parisien’ publie dans son édition de lundi un encart de 13 lignes titré ‘Les vacances très protégées de Sarkozy’, sans même une référence à l’incident de la semaine précédente. »

Pourtant « la propriété -des Sarkozy- » devait être « bien surveillée en théorie » précise le quotidien qui rappelle de cet incident survenu la semaine précédente intervient alors que Le Parisien publie lundi un article titré « Les vacances très protégées de Sarkozy ».

La semaine passée Nicolas Sarkozy et Carla Bruni étaient à Ramatuelle pour assister au spectacle de Julien Clerc.

Carla Bruni a été applaudie par le public. Peu avant 22 heures, Carla Bruni et Nicolas Sarkozy se sont rendus théâtre de verdure de Ramatuelle.

Nicolas Sarkozy a déclaré « Enfin ! Ça me fait plaisir d’être là. J’espère qu’on ne vous dérange pas ? », a lancé l’ancien chef d’état en vacances au Cap Nègre.

Dans un communiqué publié lundi, Nicolas Sarkozy a réagi en affirmant qu’il bénéficiait « du même traitement que tous les anciens présidents de la République ».

L’ex chef de l’état précise que ce dispositif « correspond à la menace qui peut peser sur une personnalité qui est ou a été exposée », et qu’il « n’est aucunement défini par la personne protégée, mais évalué par les services du ministère de l’Intérieur ».

Il poursuit « l’utilité de ce dispositif a encore été prouvée la semaine dernière lorsqu’un individu connu des services de police allemands a tenté d’entrer dans la propriété ».

Dans son article Le Parisien indique qu' »outre la dizaine de membres du SPHP (Service de protection des hautes personnalités) qui se relaient » autour de Nicolas Sarkozy, l’ancien chef de l’état mobilise pour la surveillance de sa résidence de vacances au cap Nègre (Var) « cinq équipes de trois fonctionnaires » d’une compagnie de CRS.

Le quotidien précise « De quoi décourager les éventuels curieux ! ».

La nécessité d’un relais de protection 24 h sur 24 auprès d’une telle personnalité qu’un ancien chef d’état, est soulignée et les chiffres du personnel de protection mobilisé pour sa est confirmée selon sources des policières.

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