Valérie Trierweiler, première dame de France a donné mardi une interview au quotidien britannique Times, publiée mercredi.
Valérie Trierweiler indique notamment qu’elle fera le nécessaire pour « représenter l’image de la France », mais ne compte pas être « une potiche » en tant que première dame déclare.
Interrogée sur son compagnon, dont la relation remonte à 2005, Valérie Trierweiler le décrit comme « agréable et facile à vivre », mais aussi comme un fin politique.
« Ça désarçonne l’adversaire, quand vous tendez la main à la personne qui a le couteau dans la main. Il a réussi à retourner beaucoup de gens comme ça. Il a une force incroyable » précise Valérie Trierweiler.
« Depuis longtemps, je crois en son avenir (…) Et c’est en connaissant l’homme intimement que j’ai découvert que ce qui pouvait apparaître comme des faiblesses était en réalité de grandes forces » estime Valérie Trierweiler.
Valérie Trierweiler n’oublie pas d’évoquer les « courtisans » « Je les vois d’autant plus que j’étais avec François Hollande à la période où il n’y avait que cinq personnes autour de lui.
La journaliste politique de 47 ans, qui a déjà exprimé son intention de continuer à travailler une fois première dame ajoute :
« Je veux bien représenter l’image de la France, faire les sourires nécessaires, être bien vêtue, donner une belle image, mais il ne faudra pas que ça s’arrête là. Je ne serai pas une potiche ».
« Mais quand vous me dites vous êtes l’égale de Michelle Obama, je n’en crois ni mes yeux ni mes oreilles », précise -t-elle.
Valérie Trierweiler se dit selon le quotidien britannique, davantage inspirée par les exemples de Danielle Mitterrand et Hillary Clinton que par Carla Bruni-Sarkozy ou Bernadette Chirac.
» je n’ai jamais porté de robes ou de tenues de couturier »
« Je n’ai jamais porté de robes ou de tenues de couturier » poursuit -elle.
A la question ++Le couple va t-il s’installer à l’Élysée ? ++ Valérie Trierweiler fait part des nuisances occasionnées pour le voisinage de leur appartement parisien depuis l’élection de son compagnon.
« La rue est bloquée dès que François Hollande doit sortir. (…) Les gens qui entrent doivent être contrôlés à chaque fois », explique Valérie Trierweiler.
Partager : |
|
Tweet |
|
|
|