L’avocate de Valérie Trierweiler, Me Frédérique Giffard invitée jeudi sur Europe 1 a confirmé les procédures en cours contre Closer, Voici et Public.
L’annonce de ces procédures interviennent après la condamnation mardi du magazine VSD à payer 2.000 euros à Valérie Trierweiler qui réclamait 30.000 euros après avoir publié cet été des photos du couple présidentiel en maillot de bain à Brégançon.
Selon VSD ces clichés volés sont «d’une grande banalité».
La somme de 2.000 euros allouée par la Justice
sera reversée à Reporters sans frontières.
La journaliste a obtenu la condamnation de VSD, sur le fondement du « droit à l’image et à la préservation de sa vie privée».
Valérie Trierweiler a assuré que le montant de 2.000 euros alloué par la Justice allait être reversé à Reporters sans frontières.
Son avocate Me Frédérique Giffard a expliqué jeudi sur Europe1 «Nous avons trois autres procédures en cours contre des magazines people, Closer, Voici et Public, pour ne pas les nommer ».
L’avocate a ajouté « On a fait le choix d’assigner les magazines qui ont mis les photos en couverture et qui ont cherché à vendre, à accrocher le lecteur avec ces photos».
«Il n’y a pas de tabou par rapport à son employeur»
Dans ce cas pourquoi Valérie Trierweiler n’attaque t-elle pas Paris Match, où elle travaille et qui a également publié les clichés ?
Selon son avocate c’est parce que «la présentation était beaucoup plus discrète» a t-elle précisé en soulignant que Public «fait partie du groupe Lagardère» auquel appartient Paris Match, et que selon elle n’y a donc «pas de tabou par rapport à l’employeur de Valérie Trierweiler» a précisé l’avocate de Valérie Trierweiler.
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