Au lendemain des propos du président de l’AC Ajaccio, Alain Orsoni, qui a exprimé sa « peur » après l’exécution du président de la CCI de Corse-du-Sud dont il était proche, le ministre de l’Intérieur a réagi vendredi sur RTL :
« L’Etat protègera Alain Orsoni s’il le demande. Mais s’il sait des choses, il faut qu’il parle », a indiqué Manuel Valls, en pleine crise corse.
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