Après l’annonce des derniers arbitrages budgétaires les organisations patronales sont inquiètes de leurs conséquences sur leur compétitivité.
C’est pratiquement un milliard d’euros supplémentaires que les entreprises devront régler chaque année pour lutter contre les déficits de l’État et de la Sécurité sociale.
Dans un contexte de sortie de crise, le Medef et la CGPME estiment que ces mesures pourraient être préjudiciables à la compétitivité des entreprises.
Dès le 1er janvier prochain, l’intéressement et la participation devraient être plus taxés et
les entreprises contribueront à hauteur de 6 %, au lieu de 4 % actuellement sur ces compléments de rémunérations.
Avec cette mesure l’État espère récupérer 400 millions d’euros par an.
De même que sur le volet social, une hausse de 0,1 point de cotisation de plus pour les accidents du travail est prévue pour les entreprises. Objectif rapporter à terme 500 millions d’euros par an à l’État.
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