Communiqué – mardi 3 août 2010 – C’est avec un très grand plaisir que la Sacem salue la nomination de Bruno Mantovani en tant que Directeur du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris.
Soutenu par la Division culturelle de la SACEM (aides aux résidences), Bruno Mantovani, Grand Prix SACEM 2009 de la musique symphonique, est aussi membre de la Commission de Musique Symphonique, depuis plusieurs années.
Biographie
Plus d’un musicien rêverait d’une telle carrière. Après avoir obtenu tous les diplômes (cinq premiers Prix au CNSM de Paris) et participé au cursus d’informatique musicale de l’Ircam, il remporte naturellement tous les prix : Unesco, SACEM, SACD, le Prix André Caplet de l’Institut en 2005, Prix Belmont de la fondation Forberg-Schneider, Prix Claudio Abbado de la Philharmonie de Berlin, le Prix de la Presse Musicale Internationale, etc. Qu’on appelle cela un don, la chance ou le travail, cela s’écrit en cinq lettres : talent. Chez lui, il est en majuscules.
Ses œuvres sont jouées au Concertgebouw d’Amsterdam, à la Philharmonie de Cologne, au KKL de Lucerne, à la Scala de Milan, au Carnegie Hall et au Lincoln Center à New York, à la Cité de la musique et à la salle Pleyel à Paris. Fidèle à ses interprètes de prédilection, il collabore avec de prestigieux solistes tels que Jean-Efflam Bavouzet, Alain Billard, Jean-Guihen Queyras, Antoine Tamestit, Tabea Zimmermann, chefs d’orchestres (Pierre Boulez, Sir Andrew Davis, Péter Eötvös, Laurence Equilbey, Gunter Herbig, Emmanuel Krivine, Susanna Mälkki, Jonathan Nott, Pascal Rophé, François-Xavier Roth), ensembles : Accentus, InterContemporain, TM+, et orchestres du monde entier (Bamberg, Chicago, Cologne, Francfort, Liège, Lucerne, Sarrebrücken BBC, Radio France, NHK de Tokyo, RAI de Turin, Sinfonia Varsovia, RSO de Vienne).
Couvert de récompenses pour ses enregistrements (dont plusieurs «coups de coeur» de l’Académie Charles Cros, un «Choc de l’année» du Monde de la musique, et une sélection dans les dix meilleurs disques de l’année 2008 dans le NY Times), il fait aussi un splendide parcours de «résidences» : à la Herrenhaus d’Edenkoben,
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