Après son départ du gouvernement, Jean-Louis Borloo sort de son silence.

Le président du Parti radical montre sa différence et prend ses distances face aux « dérives » de certains députés UMP et s’est opposé à la déchéance de la nationalité.

A propos du débat sur l’identité nationale, l’ancien ministre a indiqué qu’il n’aurait pas agi comme l’équipe de Fillon.

« une partie de la majorité qui est beaucoup plus préoccupée

par ces sujets là que par les problèmes de déchéance de nationalité ».

Selon Jean-Louis Borloo dans les prochains mois qui vont précéder la présidentielle, « le débat ne peut pas se résumer à la peur, au pessimisme, à la dénonciation des autres…  »

Il ajoute il faut des « projets très clairs »

« Une augmentation du gaz, des énergies en général, des problèmes de logement enfin en gros les fins de mois et il y a une partie de la majorité qui est beaucoup plus préoccupée par ces sujets là que par les problèmes de déchéance de nationalité »