Invitée au Grand Journal de Canal +, juste après la publication de la Une raciste de l’hebdmadaitre d’extrême droite Minute, la comédienne
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Véronique Genest a expliqué qu’elle condamnait le racisme et est revenue sur son tweet sur le racisme anti-blanc qui avait déclenché une polémique.
Après son passage dans l’émission « Le Grand Journal » de Canal +, la comédienne s’est exprimée dans metronews et assure être une victime « diabolisée ».
« En vérité, le monde est devenu fou »
Juste après la publication de la Une raciste de Minute, Véronique Genest avait posté sur le réseau social un post qui avait provoqué de nombreuses réactions et a décidé de se rendre sur le plateau de l’émission e Canal + pour s’expliquer.
Elle assure aujourd’hui ne s’intéresser qu’au « sens des mots » et se dit « diabolisée ».
La comédienne a expliqué à metronews qui lui a demandé ++Vous ne cessez de critiquer les médias, pourquoi avoir accepté de vous rendre au Grand Journal ?++
Véronique Genest a répondu « L’émission m’a contactée et je ne voulais pas y aller au début. Mais après, j’étais très en colère contre BFMTV qui a repris mon tweet en disant n’importe quoi. J’ai donc voulu rectifier toutes ces erreurs, même si je sais que ce genre d’émissions est un piège à cons » .
A la question « En plein débat sur le racisme et notamment contre la ministre, Christiane Taubira, vous comprenez que des gens puissent être choqués par vos propos ? »
Véronique Genest « Non je ne comprends pas. En vérité, le monde est devenu fou. Le but est de diaboliser les gens qui ne pensent pas pareil. On me diabolise parce que je suis pro-israélienne, parce que j’ai soutenu Nicolas Sarkozy … Je demande seulement qu’on me foute la paix, moi ».
La comédienne a répondu à la question ++mais pourquoi postez-vous régulièrement des messages polémiques sur les réseaux sociaux, pour ensuite aller les justifier à la télévision ?++
« J’estime que j’ai le droit de parler de tout et surtout de m’interroger sur les racines du mal de certains problèmes de société. La France va mal, je suis Française, j’ai le droit de l’exprimer. Que ce soit sur Twitter ou ailleurs. Même si l’on cherche à me faire taire, j’estime que je dois pouvoir discuter de ce que je veux » a déclaré Véronique Genest.