Selon Médiapart le PSG aurait enfreint le fair-play financier grâce à Platini et Infantino

Le PSG répond aux accusations de Mediapart.

Selon Médiapart le PSG aurait enfreint le fair-play financier

grâce à Platini et Infantino

Après des révélations des Football Leaks publié par Médiapart accusant le club de la capitale d’avoir gonflé ses revenus grâce à des « contrats fictifs », le Paris SG a fermement démenti les allégations publiées par Mediapart et précise que le club « s’est toujours strictement conformé aux lois et réglementations en vigueur ».

Le club parisien assure que le contrat avec l’Office de tourisme du Qatar (QTA) « est connu de l’UEFA et du grand public depuis 2014. En 2014, l’UEFA a confirmé que notre contrat avec l’office du tourisme du Qatar assurait la promotion et le rayonnement du pays ».

Dans son communiqué le PSG précise « Le principe de ce contrat est simple: aujourd’hui, les résultats positifs du PSG sont systématiquement associés au Qatar et profite directement à son image. Depuis la mise en place du fair-play financier, le Paris Saint-Germain a été l’un des clubs les plus audités et les plus surveillés de l’histoire ».

Le Qatar aurait injecté 1,8 milliard d’euros au PSG depuis sept ans, selon les Football Leaks, « dont 1,35 milliard via des contrats de sponsoring surévalués » pour contourner les règles du fair-play financier.

Mediapart mentionne un contrat d’un montant d’1,075 milliard d’euros promis sur cinq ans par l’office du tourisme du Qatar, soit en moyenne 215 millions d’euros par an, une somme réviée à la baisse en 2014 après un accord avec l’UEFA et ramenée à 100 millions d’euros par an.

+Football Leaks. Le PSG enfreint les règles du fair-play financier grâce à l’aide de Platini et Infantino

Deux agences missionnées par l’UEFA auraient valorisé ce contrat « à 123.000 euros par an pour l’un, et 2,8 millions d’euros par an pour l’autre » alors que le montant affiché » soit 215 millions d’euros par an ce qui correspondrait à jusqu’à 1750 fois moins).

le PSG avait écopé en 2014, d’une sanction de deux ans de restrictions financières (plafonnement de la masse salariale, limitation du nombre de joueurs et de 20 millions d’euros d’amende ferme ( ainsi que 40 millions d’euros supplémentaires si le club ne revenait pas à l’équilibre).

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