Les bombardements en Syrie font peser des craintes sur l’économie mondiale : « Ces bombardement viendraient frapper une économie mondiale fragilisée, l’amérique connaît une croissance poussive, l’Europe sort à peine de la récession, les pays émergeant sont en perte de vitesse.
Et donc évidemment quand un choc vient frapper une économie qui tourne au ralenti, il a plus d’impact que lorsqu’il frappe une économie qui tourne à pleine vitesse c’était le cas en 1991, au moment de la première guerre du Golf » expliqué Emmanuel Le Chypre sur BFMTV
« Si le conflit venait à durer ont verrait les entreprises reporter leurs investissements
et embauches. Les consommateurs préférer l’épargne à la dépense »
« Ce n’est pas guerre du Golf qui explique la récession qui a suivi, mis elle l’a précipité.
Le canal principal c’est celui de la confiance. Si le conflit venait à durer, ont verrait les entreprises reporter leurs investissements et embauches. Les consommateurs préférer l’épargne à la dépense.
On en n’est pas encore là mais d’ores et déjà sur les marchés financiers ont a des réactions. La première c’est qu’on délaisse les actions.
Les investisseurs qui étaient allés dans les pays émergents préfèrent revenir vers les pays occidentaux comme les Etats Unis et l’Europe et puis ils reviennent aussi sur des placements de crise comme l’or ».
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