Le psychanaliste Gérard Miller décrypte le tweet destiné à achever la rivale Ségolène Royal de Valérie Trierweiler qui avait murmuré à la Bastille le soir de l’élection «embrasse-moi sur la bouche».
En publiant sur le réseau social Twitter ses encouragements au dissident PS opposé aux législatives à Ségolène Royal, Valérie Trierweiler, compagne du chef de l’Etat, a créé mardi la stupeur et placé en position délicate François Hollande.
en La droite a accueilli ce twet comme une aubaine.
La journaliste a publié sur Twitter «Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé», alors que ques heures plus tôt le président avait apporté son soutien à Mme Royal, son ex-compagne et la mère de ses 4 enfants.
L’entourage de la première secrétaire du PS Martine Aubry, venu à La Rochelle pour soutenir Mme Royal, était persuadée que le message était un faux tellement la prise de position de Mme Trierweiler paraissait inimaginable.
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