Selon un sondage Ipsos pour France Bleu, 53% des Français prévoient de diminuer leur budget pour les fêtes de fin d’année, contre 43% l’an dernier.Soit une hauuse de 10 points en 1 an.
Pour 70% des Français le gros de la crise est encore à venir indique un autre sondage réalisé par Ipsos pour le ministère de l’Économie et des Finances au mois de novembre.
Premier enseignement de l’étude, même les catégories aisées disent elles aussi qu’elles diminueront leur budget de fêtes.
Les revenus supérieurs sont dans une proportion significative affectés par cette tendance puisque plus d’un tiers d’entre eux (35%) souhaitent restreindre le budget de cette fin d’année, contre 23% en 2009.
Plusieurs mères de familles pourtant cadres supérieurs dans l’industrie ont choisi d’offrir chacun un cadeau à une personne tirée au sort dans leur famille.
Selon les résultats de l’enquête, les revenus intermédiaires vont également surveiller cadeaux et repas dans la même proportion pratiquement que les revenus modestes soit -62% et -64% chacune.
Les achats d’occasion ont tendance à se généraliser et la revente des cadeaux sur des sites d’enchères sur Internet est de plus en plus pratiquée.
De moins en moins de personnes achètent leurs cadeaux neufs dans des magasins.
De moins en moins de personnes achètent leurs cadeaux neufs dans des magasins.
En revanche, la proportion de personnes achetant des adeaux d’occasion pour leurs proches sur Internet est en forte progression.
Près d’un Français sur deux soit 46% a déjà acheté pour 14% ou pourrait acheter (32%) des cadeaux d’occasion sur Internet indique le sondage.
Le nombre de personnes souhaitant revendre ou à avoir déjà revendu un présent sur la Toile s’établit plus d’un tiers des personnes interrogées.
Selon l’étude, les Français les plus aisés sont les plus concernés (50%).
Les auteurs de l’étude relèvent «si l’achat d’occasion et la revente de cadeaux de Noël sur Internet relèvent très certainement chez les plus modestes d’une volonté de réaliser des économies, ces pratiques témoignent chez les catégories sociales les plus aisées des changements engendrés par la crise dans leur manière de consommer».
L’«achat malin» très largement favorisé par Internet à la faveur du plublic pour des raisons économiques mais aussi pour des préoccupations d’ordre environnementales.
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